• Au milieu des années soixante paraissait Mojo hand, rééditée plus tard avec le sous-titre An Orphic tale. Ce roman étonnant tant par son écriture que par son thème, était l'œuvre en partie autobiographique d'une jeune afro-américaine qui entretenait alors une liaison avec un bluesman légendaire, Lightnin’ Hopkins. Un roman qui suscita à l'époque des louanges de la critique, mais également des critiques acerbes des tenants de l'intelligentsia noire, irritée par une vision de leur communauté qu'elle jugeait rétrograde. En 1999, le Los Angeles Time l'a intégré dans sa liste d'ouvrages intitulée «les trésors oubliés du XXe siècle»

     

    BLUES ET LITTERATURE

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